Utilisateur:Austral Lights/Brouillon

Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Caractéristiques[modifier | modifier le code]

Le crossover thrash est un genre hybride fusionnant des éléments du punk hardcore et du thrash metal<HILLIER>,<RYM>. Comme dans ces deux genres musicaux, un groupe de crossover se compose habituellement d'un chanteur, d'un guitariste soliste, d'un guitariste rythmique, d'un bassiste et d'un batteur[1]. Le chant, volontiers crié et saturé, s'inspire fortement du punk hardcore. L'utilisation par les guitaristes de riffs plus élaborés et complexes que dans le hardcore témoigne de l'influence du thrash metal[1]. D'autres caractéristiques typiques du jeu de guitare sont l'usage des power chords, l'accordage en drop D facilitant la réalisation de ces derniers, le palm mute en rythmique et la présence de solo de guitare typiques du metal[1].

L'esthétique des pochettes d'album est très marquée par le punk[1],[2]. Il en résulte des couvertures à l'aspect très bigarré faisant la part belle aux dessins (souvent à l'aspect un peu infantile) ainsi qu'aux montages et collages photographiques typiques des arts visuels punk[1],[2]. Les paroles des chansons ont souvent un côté humoristique voire satirique[1],[3]. La politique est l'un des principaux thèmes abordés[1],[3] avec un accent mis sur l'anti-fascisme et la critique de la corruption[3].

Les Catskill High Peaks sont tous les sommets des montagnes Catskill, dans l'État de New York, dont l'altitude est supérieure à 1 067 m (3 500 pieds) et qui sont séparés d'un autre sommet soit par une hauteur de culminance de 76 m (250 pieds) soit par une distance d'au moins (0,8 km) (un demi-mille). Par rapport aux standards habituels, ces montagnes sont plutôt basses et arrondies, et principalement recouvertes de végétation.

Contrairement aux Adirondack High Peaks, ces sommets sont répartis assez uniformément dans la moitié orientale de la chaîne et non confinés à une zone très resserrée. Tous, à l'exception de Bearpen et de Vly se situent au sein du parc Catskill.

Origine[modifier | modifier le code]

La grive de Bicknell

La liste remonte au début des année 1950, lorsque Dan Smiley (un descendant des fondateurs de Mohonk Mountain House) et ses collègues ornithologues essayaient d'observer l'insaisissable grive de Bicknell. Cette dernière préférant nicher et se reproduire dans des forêts situées à une altitude supérieure à 3 500 pieds, Smiley et ses collègues dressèrent une liste des sommets des Catskills dépassant cette hauteur qu'ils publièrent dans une revue de naturalistes.

Une dizaine d'années plus tard, des randonneurs intéressés par le peak bagging créèrent le Catskill Mountain 3500 Club, une organisation similaire à celle des Adirondack Forty-Sixers, afin de promouvoir l'ascension des 35 sommets listés ci-dessous. Le Southwest Hunter, trente-sixième sommet a été ajouté à la liste en 1992. Pour être éligibles au club, les membres doivent réaliser l'ascension de l'ensemble des sommets (13 d'entre eux n'ayant pas de route établie, ce qui impose un bushwhacking) et une second ascension en hiver des montagnes Slide, Blackhead, Balsam et Panther.

La liste des sommets[modifier | modifier le code]

Vue sur Panther Mountain depuis le sommet de Slide Mountain

Les relevés topographiques dans les Catskills datent des années 1940 et les altitudes exactes de certains des sommets ne sont pas officiellement déterminées. Dans ce cas, les sommets sont marqués d'un signe « + » et l'altitude indiquée correspond à l'isoplèthe le plus élevé présenté sur la carte correspondante de l'Institut d'études géologiques des États-Unis (précision de 20 pieds)

Sommet Altitude Rang
Slide Mountain + 1275 1
Hunter Mountain + 1230 2
Black Dome + 1210 3
Thomas Cole Mountain + 1200 4
Blackhead Mountain + 1200 5
West Kill Mountain + 1180 6
Graham Mountain 1179 7
Doubletop Mountain + 1180 8
Cornell Mountain + 1180 9
Table Mountain 1173 10
Peekamoose Mountain 1171 11
Plateau Mountain + 1170 12
Sugarloaf Mountain + 1160 13
Wittenberg Mountain + 1150 14
Southwest Hunter + 1140 15
Balsam Lake Mountain 1135 16
Lone Mountain 1134 17
Panther Mountain 1130 18
Big Indian Mountain 1130 19
Friday Mountain 1126 20
Rusk Mountain + 1127 21
Kaaterskill High Peak 1114 22
Twin Mountain + 1109 23
Balsam Cap 1104 24
Fir Mountain + 1103 25
North Dome 1100 26
Eagle Mountain + 1100 27
Balsam Mountain + 1100 28
Bearpen Mountain 1100 29
Indian Head 1089 30
Sherrill Mountain + 1080 31
Halcott Mountain 1078 32
Vly Mountain 1076 33
Windham High Peak 1074 34
Rocky Mountain 1069 35

Histoire[modifier | modifier le code]

Débuts[modifier | modifier le code]

Les premières personnifications féminines des Amériques dans l'art européen datent du XVIe siècle. Elles évoquent les régions tropicales de l'Amérique du Sud et de l'Amérique Centrale qui furent les premières à avoir été visitées par les européens[4].

L'Amérique était généralement représentée sous la forme d'une femme peu vêtue arborant des plumes dans sa coiffure[4]. Comparativement aux personnifications féminines des autres continents non européens (Afrique et Asie), la femme représentant l'Amérique présentait dans ces iconographies un aspect d'avantage sauvage et barbare[4]. On pouvait ainsi la représenter avec un arc et des flèches, l'associer à des animaux sauvages (caïman, alligator, perroquet) ou encore l'inscrire dans des scènes de cannibalisme[4]. Un exemple classique est présenté dans le livre d'emblèmes de Cesare Ripa de 1603[4].

XVIIIe siècle[modifier | modifier le code]

Alors que le Nouveau Monde devient moins menaçant pour les européens, la représentation s'adoucit avec le temps pour tendre vers l'image type de la « princesse indienne »[4]. Les colons européens rejetèrent peu à peu cette nouvelle image, désirant une figure féminine les représentant eux, en lieu et place des peuples amérindiens avec lesquels ils entretenaient des rapports conflictuels.

Le juge Samuel Sewall utilisa le nom Columbina pour faire référence au Nouveau Monde en 1697. Le nom Columbia pour désigner l'Amérique apparaît pour la première fois en 1738 dans la publication hebdomadaire des débats du parlement dans The Gentleman's Magazine, journal fondé par Edward Cave. La publication des débats parlementaires étant en théorie illégale, celle-ci était à peine masquée sous la forme de rapports des débats du sénat de Liliput (Reports of the Debates of the Senate of Lilliput) et des noms fictifs étaient utilisés pour la plupart des individus et des lieux. La plupart étaient des anagrammes transparents, des déformations de noms réels et certains étaient directement issus du livre Les Voyages de Gulliver de Jonathan Swift. Des exemples incluent Ierne pour l'Irlande, Iberia pour l'Espagne, Noveborac pour New York (de Eboracum, le nom romain de York). Columbia désignait les Amériques au sens de colonies européennes du Nouveau Monde.

Au momet de la révolution américaine, le nom Columbia avait déjà perdu sa connotation comique et était devenue une alternative voire un nom poétique pour désigner l'Amérique. Alors que le nom America était scandé en quatre syllabes, Columbia, en accord avec les règles de la versification du {(s|XVIII}}, n'en comptait que trois, ce qui était souvent plus pratique en termes de métrique. Par exemple, le nom Columbia apparaît dans une collection de poèmes écrits par des diplômés de Harvard en 1761 à l'occasion du mariage et du couronnement du roi George III

Behold, Britannia! in thy favour'd Isle;
At distance, thou, Columbia! view thy Prince,
For ancestors renowned, for virtues more;

Le nom Columbia fut ensuite appliqué à une large variété d'éléments reflétant l'identité américaine. Un navire construit au Massachusetts en 1773 fut ainsi baptisé Columbia Rediviva.

Uunartoq[modifier | modifier le code]

Le disque d'Uunartoq est un artéfact découvert dans des ruines d'une colonie viking du Groenland. Il est considéré comme un exemple de boussole solaire

Illustration du disque d'Uunartoq

Découverte[modifier | modifier le code]

En 1948, l'archéologue danois Christen Vebæk fouillait les ruines d'un établissement viking sur la berge occidentale du fjord Uunartoq (connu des vikings sous le nom de Siglufjord) incluant notamment une église considéré comme étant celle du couvent bénédictin dans lequel vivait Ivar Bardarson, prêtre du milieu du {(s|XIV}} et représentant de l'archidiocèse de Nidaros[5].

Établissement de l'Ouest

Parmi d'autres artéfacts, Vebæk découvrit un fragment d'un disque en bois dont le périmètre était marqué d'encoches triangulaires et le centre percé d'un trou. Le bois utilisé est tendre, probablement du mélèze ou de l'épicéa bien que certaines sources mentionnent du chêne[6]. D'une largeur de 7 cm et d'une épaisseur de 1 cm. Le trou central mesure 1,7 cm de diamètre[7].

Une réplique moderne spéculative du disque, toutefois considérablement plus grande que l'originale

.

Le capitaine de marine et historien naval Carl V. Sølver examina les encoches ainsi que les lignes délibérément inscrite sur le disque et déclare qu'il s'agissait d'un compas solaire utilisé pour déterminer le vrai Nord. Le trou central devait servir à loger une poignée sur laquelle se seraient fixée deux aiguilles, l'une horizontale directionnelle et l'autre verticale pour générer une ombre[8] .

La découverte de cet objet relança l'intérêt chez les historiens quant à la possible utilisation d'instruments de navigations par les vikings alors que beaucoup d'experts considéraient qu'ils ne se basaient que sur des méthodes non-instrumentales telles que les corps célestes, les points de repère ou encore l'intuition[9]. La boussole ne semble pas être apparue en Europe avant le début du XIIIe siècle[10]. Bien que létoile polaire était déjà un important outil de navigation depuis l'époque de Pythéas et considérée comme l'étoile de la mer au Xe siècle, il aurait été difficile pour les marins de déterminer le nord pendant la journée.

Bien que certains chercheurs continuent de se prononcer contre la théorie de l'usage d'une instrumentation marine par les vikings[11], la découverte d'un autre artéfact avec des lignes de gnomonique dans un site archéologique polonais (près de Wolin) en 2000 a donné d'avantage de crédit à la théorie du compas solaire[12].


Cours Xavier Arnozan
Image illustrative de l’article Austral Lights/Brouillon
Vue du cours Xavier Arnozan
Situation
Coordonnées 44° 50′ 57″ nord, 0° 34′ 22″ ouest
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Ville Bordeaux
Quartier(s) Bordeaux Centre
Début Quai des Chartrons
Fin Cours du Maréchal Foch
Morphologie
Type Cours
Histoire
Anciens noms Pavé des Chartrons
Monuments Hôtel Fenwick, Statue équestre de Jeanne d'Arc, CAPC - musée d'Art contemporain de Bordeaux
Protection Patrimoine Mondial de l'Humanité
Géolocalisation sur la carte : Bordeaux
(Voir situation sur carte : Bordeaux)
Cours Xavier Arnozan

Le cours Xavier Arnozan est un cours de la ville de Bordeaux. Il se situe à proximité du Triangle d'or dont il constitue même pour certains auteurs une des limites[13]. Il appartient administrativement au quartier Bordeaux Centre[14].

Autresfois nommé, Pavé des Chartrons, le cours Xavier Arnozan a pris sa forme actuelle au XVIIIe siècle sur le glacis du château Trompette.

Secteur agricole[modifier | modifier le code]

Le secteur agricole est la base traditionnelle de l'économie andorrane et repose principalement sur la production de tabac et l'élevage[15].

Les champs de tabac occupent en 2019 une surface de 146,9 ha[16] dont 47 ha sur la seule paroisse de Sant Julià de Lòria[17], ce qui en fait la première culture du pays par surface occupée[16]. La surface de ces champs de tabac est néanmoins en diminution régulière (209 ha en 2001 puis 159 ha en 2010)[16].

L'élevage est essentiellement de nature ovine (avec 2 400 têtes en 2019) et bovine (avec 1 500 têtes en 2019)[18]. Le cheptel ovin, principalement présent dans les paroisses de Sant Julià de Lòria et d'Encamp est en diminution régulière depuis 1990, date à laquelle on comptait près de 5 600 têtes dans le pays[18],[19]. Les bovins, principalement élevés dans la paroisse de Sant Julià de Lòria, ont quant à eux une population stable sur cette même échelle de temps[18],[19].

Récemment, la production agricole andorrane s'est diversifiée avec le développement de cultures de qualité : miel, pommes de terre, vigne[15].

Sidérurgie[modifier | modifier le code]

[20]

[21]

[22]

[23]

https://www.persee.fr/doc/r1848_1155-8814_1915_num_11_63_1545

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e f et g Ernotte, Maxime, Analyse Musicale et Culturelle du Metalcore : Mémoires de la Faculté de Philosophie et Lettres - Master en histoire de l'art et archéologie, orientation musicologie, à finalité approfondie, Université de Liège, (lire en ligne)
  2. a et b (en) Guillaume Friconnet, « A k-means clustering and histogram-based colorimetric analysis of metal album artworks: The colour palette of metal music », Metal Music Studies, vol. 9, no 1,‎ , p. 77–100 (ISSN 2052-3998 et 2052-4005, DOI 10.1386/mms_00095_1, lire en ligne, consulté le )
  3. a b et c (en) Guillaume Friconnet, « Establishing a taxonomy of metal subgenres based on quantitative musical and thematic features », Metal Music Studies, vol. 8, no 2,‎ , p. 183–203 (ISSN 2052-3998, DOI 10.1386/mms_00074_1, lire en ligne, consulté le )
  4. a b c d e et f John Higham, « Indian Princess and Roman Goddess: The First Feale Symbols of America », Proceedings of the American Antiquarian Society, vol. 100,‎ , p. 48 (lire en ligne, consulté le )
  5. Helge Ingstad, Land Under the Pole Star (New York: St. Martin's, 1966), pg. 250-253
  6. Carl Sølver, "The discovery of an early bearing dial" (Cambridge: The Journal of Navigation, 1953) 6, 294
  7. C.L. Vebæk et al, "The Church Topography of the Eastern Settlement and the Excavation of the Benedictine Convent at Narsarsuaq in the Uunartoq Fjord" (Copenhagen: Meddelelser om Grønland, Vol. 14 1995) pg. 65-70
  8. The Church Topography... pg. 65-70
  9. George Indruszewski, "Maritime skills and astronomic knowledge in the Viking Age Baltic Sea" (Studia Mythologica Slavica, 2006) pg. 16-18)
  10. Alan Gurney, Compass: a Story of Exploration and Innovation (New York: W. W. Norton & Company, 2004)
  11. Soren Thirslund, "The Discovery of an Early Bearing-Dial – Further Investigations" (Cambridge: The Journal of Navigation, 1993) 46,1 pg. 33-48
  12. Maritime skills and astronomic knowledge...pg.28-29
  13. Jacques Clémens et Jean-François Pée, Quartier du Grand Théâtre, Bordeaux, Bordeaux, Nouvelles Editions Sutton, , 128 p. (ISBN 2813805343, EAN 978-2813805348), p. 92 :

    « Le Triangle d'Or par sa forme géométrique agrandie depuis la métamorphose de la ville par Louis-Urbain Aubert de Tourny […], atteint le Cours Xavier Arnozan incluant la Place des Quinconces avant de rejoindre le Cours de l'Intendance avec le Cours du Chapeau Rouge. »

  14. « Huit quartiers pour vous », sur Site officiel de la ville de Bordeaux (consulté le )
  15. a et b (ca) Ministeri de Presidència, Economia i Empresa, Departament d’Estadística, Cambra de Comerç, Indústria i Serveis d’Andorra (CCIS) et Actua (Invest in Andorra – Innovation Hub Andorra), « Andorra en Xifres 2019 », Govern d’Andorra (consulté le )
  16. a b et c (ca) Departament d’Estadística, « Superfície agrària per tipus de conreus » (consulté le )
  17. (ca) Departament d’Estadística, « Superfície agrària per tipus de conreus i parròquia » (consulté le )
  18. a b et c (ca) Departament d’Estadística, « Cabana Ramadera » (consulté le )
  19. a et b (ca) Departament d’Estadística, « Cabana Ramadera per tipus i parròquia » (consulté le )
  20. Olivier Codina, « Marchés sidérurgiques et forges : les espaces du fer andorran (1600-1876) », Annales du Midi, vol. 117, no 251,‎ , p. 383-405 (lire en ligne, consulté le )
  21. (es) J. Maluquer de Motes, « La producción de hierro en la farga catalana », Revista de Historia Economica - Journal of Iberian and Latin American Economic History Instituto Figuerola, Carlos III Universidad de Madrid, vol. 2, no 3,‎
  22. « Sidérurgie », sur www.madriu-perafita-claror.ad (consulté le )
  23. Hugues Lafontaine, Andorre, 10000 ans d'histoire, Association la Méridienne du monde rural Books on demand, (ISBN 2-322-03893-8, OCLC 902790289)